karriere

Bilan de compétences, CPF et CPF-PTP : quelle prise en charge avec la loi Avenir Professionnel ?

CPF/CPA, CPF de transition professionnelle, CIF... De quelles prises en charge pouvez-vous bénéficier pour financer votre bilan de compétences avec l'entrée en vigueur de la nouvelle Réforme Pénicaud (loi Avenir professionnel), au 1er janvier ? On vous explique tout.

Après la disparition du DIF (Droit Individuel à la Formation) et l'apparition du CPF (Compte Personnel de Formation) au 1er janvier 2015, 2019 sonne la disparition du CIF (Congé Individuel de Formation), remplacé par le CPF de transition professionnelle. Qu'en est-il de la prise en charge de votre bilan de compétences ?

 

Quelques rappels tout d'abord

Plusieurs possibilités de prises en charge de votre bilan de compétences s'offraient à vous jusqu'à présent, en fonction de votre situation : 

  • Le CPF (Compte personnel de formation), via les OPCA, depuis que le bilan de compétences y est éligible (1er janvier 2017).
  • Pôle Emploi, via le dispositif d'Aide individuelle à la formation (AIF), qui constitue une aide financière pour suivre une formation ;
  • Le Congé Bilan de compétences (CBC), via les OPACIF (Organismes Paritaires collecteurs Agréés pour le financement du Congé Individuel de Formation).

     

Financez votre Bilan avec votre CPF

Depuis le 1er janvier 2019, vous avez toujours la possibilité de demander la prise en charge de votre bilan de compétences avec votre CPF :

  • hors temps de travail, sans faire de demande à l'employeur, et sans aucune allocation de formation ;
  • sur le temps de travail, avec l'accord de votre employeur.

Mais attention au calendrier ! Les principaux changements concernant le CPF (monétisation et mise en place d'une application mobile) étant attendus à l'automne 2019 (après un premier report), les délais de prise en charge de votre bilan de compétences risquent de s'allonger à l'approche de cette période. 

 

Du CIF au CPF de transition professionnelle

Avec l'arrivée du CPF de transition professionnelle (en remplacement du CIF), un salarié aura toujours la possibilité de demander la prise en charge d'une action de formation de longue durée, destinée à changer de profession ou de métier. Ainsi qu'un congé spécifique, dans le cas où la formation est effectuée sur le temps de travail (partiellement ou totalement).

Mais attention aux délais de prise en charge, là encore ! La disparition des OPACIF étant programmée, seules les prises en charge qui ont fait l'objet d'un "engagement" par un OPACIF avant le 31 décembre 2018, seront assurées. Pour les autres, il faudra attendre l'entrée en vigueur officielle du CPF de transition professionnelle.

Une période de "transition" de quelques mois est à prévoir. En effet, à l'heure qu'il est, aucune information ne circule concernant le début de prise en charge de votre bilan de compétences avec votre CPF de transition professionnelle.

A l'heure actuelle, le CPF reste donc la seule "valeur sûre" pour financer votre Bilan de compétences !

Bilan de compétences, CPF et CPF-PTP : quelle prise en charge avec la loi Avenir Professionnel ?

CPF/CPA, CPF de transition professionnelle, CIF... De quelles prises en charge pouvez-vous bénéficier pour financer votre bilan de compétences avec l'entrée en vigueur de la nouvelle Réforme Pénicaud (loi Avenir professionnel), au 1er janvier ? On vous explique tout.

Après la disparition du DIF (Droit Individuel à la Formation) et l'apparition du CPF (Compte Personnel de Formation) au 1er janvier 2015, 2019 sonne la disparition du CIF (Congé Individuel de Formation), remplacé par le CPF de transition professionnelle. Qu'en est-il de la prise en charge de votre bilan de compétences ?

 

Quelques rappels tout d'abord

Plusieurs possibilités de prises en charge de votre bilan de compétences s'offraient à vous jusqu'à présent, en fonction de votre situation : 

  • Le CPF (Compte personnel de formation), via les OPCA, depuis que le bilan de compétences y est éligible (1er janvier 2017).
  • Pôle Emploi, via le dispositif d'Aide individuelle à la formation (AIF), qui constitue une aide financière pour suivre une formation ;
  • Le Congé Bilan de compétences (CBC), via les OPACIF (Organismes Paritaires collecteurs Agréés pour le financement du Congé Individuel de Formation).

     

Financez votre Bilan avec votre CPF

Depuis le 1er janvier 2019, vous avez toujours la possibilité de demander la prise en charge de votre bilan de compétences avec votre CPF :

  • hors temps de travail, sans faire de demande à l'employeur, et sans aucune allocation de formation ;
  • sur le temps de travail, avec l'accord de votre employeur.

Mais attention au calendrier ! Les principaux changements concernant le CPF (monétisation et mise en place d'une application mobile) étant attendus à l'automne 2019 (après un premier report), les délais de prise en charge de votre bilan de compétences risquent de s'allonger à l'approche de cette période. 

 

Du CIF au CPF de transition professionnelle

Avec l'arrivée du CPF de transition professionnelle (en remplacement du CIF), un salarié aura toujours la possibilité de demander la prise en charge d'une action de formation de longue durée, destinée à changer de profession ou de métier. Ainsi qu'un congé spécifique, dans le cas où la formation est effectuée sur le temps de travail (partiellement ou totalement).

Mais attention aux délais de prise en charge, là encore ! La disparition des OPACIF étant programmée, seules les prises en charge qui ont fait l'objet d'un "engagement" par un OPACIF avant le 31 décembre 2018, seront assurées. Pour les autres, il faudra attendre l'entrée en vigueur officielle du CPF de transition professionnelle.

Une période de "transition" de quelques mois est à prévoir. En effet, à l'heure qu'il est, aucune information ne circule concernant le début de prise en charge de votre bilan de compétences avec votre CPF de transition professionnelle.

A l'heure actuelle, le CPF reste donc la seule "valeur sûre" pour financer votre Bilan de compétences !

E

« Je suis kinésithérapeute le matin et webdesigner l’après-midi. »

Interview Bilan de compétences : Emmanuelle GOLIES

Kinésithérapeute à Nice depuis 23 ans, Emmanuelle GOLIES a réalisé un bilan de compétences chez PERSPECTIVE cet été. Témoignage.

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

« Cela fait 23 ans que j’exerce le métier de kinésithérapeute à Nice, principalement en libéral. En 20 ans, ce métier a beaucoup évolué, avec un travail administratif toujours plus important, notamment depuis la mise en place du tiers-payant.

Ces dernières années, je commençais fortement à fatiguer physiquement et mentalement. La pratique du métier a changé, mais mes motivations aussi. Il y a certaines spécificités de la kinésithérapie que je ne souhaite plus pratiquer aujourd’hui.

J’ai donc décidé d’arrêter pour ne pas que ma démotivation ait un impact trop négatif sur mes patients... »

 

 

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ? Comment l’avez-vous découvert ?

« Le bilan de compétences est quelque chose dont j’ai entendu parler dans l’actualité. C’est un dispositif dont on parle de plus en plus.

Il faut dire aussi que ma belle-soeur a changé de métier il y a quelques années, après avoir effectué un bilan de compétences. Donc cela m’a encouragé.

 

J’ai commencé par acheter un livre sur le bilan de compétences, pensant que je pourrai me débrouiller toute seule. Puis je me suis rendu compte que la meilleure solution était d’être encadrée et conseillée par des professionnels. »

 

Quels secteurs d’activité vous intéressaient avant d’aborder votre bilan de compétences ?

« J’avais quelques idées, mais rien de très clair. Je savais juste que je voulais sortir du secteur de la santé. J’avais quelques pistes, en rapport avec mes loisirs et mes centres d’intérêt, notamment la pâtisserie, sans avoir de projet précis.

 

J’avais aussi envie de me lancer dans la nature, l’écologie, l’environnement, le développement durable, pour exercer un métier en plein air plutôt que d’être enfermée…

 

C’était les deux branches qui m’intéressaient. Puis le bilan de compétences m’a permis de découvrir d’autres branches et d’autres métiers... »

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

« J’ai commencé mon bilan début juin, et il s’est terminé en septembre. Je n’ai pas arrêté d’exercer mon métier de kinésithérapeute pour autant. J’ai continué, et je suis toujours en train de travailler. »

Qu’en avez-vous conclu ?

« Finalement, je ne me suis pas dirigée vers les métiers de la pâtisserie et de la nature, pour plusieurs raisons, notamment les changements d’horaires. Je me suis dit qu’après plus de 20 ans dans la même activité, j’aurais du mal à changer de rythme.

 

Pour ce qui est de la nature, il s'agissait de métiers assez physiques, ce qui m’effrayait aussi.

 

Mon bilan de compétences m’a permis de découvrir un métier auquel je n’avais pas pensé et qui m’intéresse beaucoup, pour son caractère créatif et artistique, c’est le métier de webdesigner.

 

Nous avons cherché plusieurs écoles. Puis il a fallu trouver une formation qui corresponde à mes disponibilités actuelles, ne pouvant pas arrêter mon activité professionnelle du jour au lendemain. »

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

« Nous avons trouvé une formation à distance qui s’adapte parfaitement à mon maintien d’activité, dans une école située à Angers.

 

J’ai commencé à suivre cette formation début octobre, après avoir divisé mon temps de travail par deux. Depuis un mois, je suis kinésithérapeute le matin, et formée au web-design l’après-midi.

 

J’ai eu un temps d’adaptation au début, mais je commence à prendre le rythme. C’est beaucoup de travail, c’est très intense. Mais c’est aussi très intéressant. J’apprends plein de nouvelles choses. »

Avez-vous une vision plus claire de votre avenir professionnel désormais ?

« Complètement. Mon projet consiste à arrêter mon activité de kiné dans un an, dès que ma formation sera terminée. Puis d’essayer de trouver un poste, dans une agence de communication, par exemple. Dans un deuxième temps, j’envisage de me lancer en freelance»

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

« Je suis ravie de mon bilan de compétences. Je le conseille à toutes les personnes qui s’interrogent sur leur avenir professionnel et le recommanderai évidemment autour de moi»

« Je suis kinésithérapeute le matin et webdesigner l’après-midi. »

Interview Bilan de compétences : Emmanuelle GOLIES

Kinésithérapeute à Nice depuis 23 ans, Emmanuelle GOLIES a réalisé un bilan de compétences chez PERSPECTIVE cet été. Témoignage.

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

« Cela fait 23 ans que j’exerce le métier de kinésithérapeute à Nice, principalement en libéral. En 20 ans, ce métier a beaucoup évolué, avec un travail administratif toujours plus important, notamment depuis la mise en place du tiers-payant.

Ces dernières années, je commençais fortement à fatiguer physiquement et mentalement. La pratique du métier a changé, mais mes motivations aussi. Il y a certaines spécificités de la kinésithérapie que je ne souhaite plus pratiquer aujourd’hui.

J’ai donc décidé d’arrêter pour ne pas que ma démotivation ait un impact trop négatif sur mes patients... »

 

 

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ? Comment l’avez-vous découvert ?

« Le bilan de compétences est quelque chose dont j’ai entendu parler dans l’actualité. C’est un dispositif dont on parle de plus en plus.

Il faut dire aussi que ma belle-soeur a changé de métier il y a quelques années, après avoir effectué un bilan de compétences. Donc cela m’a encouragé.

 

J’ai commencé par acheter un livre sur le bilan de compétences, pensant que je pourrai me débrouiller toute seule. Puis je me suis rendu compte que la meilleure solution était d’être encadrée et conseillée par des professionnels. »

 

Quels secteurs d’activité vous intéressaient avant d’aborder votre bilan de compétences ?

« J’avais quelques idées, mais rien de très clair. Je savais juste que je voulais sortir du secteur de la santé. J’avais quelques pistes, en rapport avec mes loisirs et mes centres d’intérêt, notamment la pâtisserie, sans avoir de projet précis.

 

J’avais aussi envie de me lancer dans la nature, l’écologie, l’environnement, le développement durable, pour exercer un métier en plein air plutôt que d’être enfermée…

 

C’était les deux branches qui m’intéressaient. Puis le bilan de compétences m’a permis de découvrir d’autres branches et d’autres métiers... »

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

« J’ai commencé mon bilan début juin, et il s’est terminé en septembre. Je n’ai pas arrêté d’exercer mon métier de kinésithérapeute pour autant. J’ai continué, et je suis toujours en train de travailler. »

Qu’en avez-vous conclu ?

« Finalement, je ne me suis pas dirigée vers les métiers de la pâtisserie et de la nature, pour plusieurs raisons, notamment les changements d’horaires. Je me suis dit qu’après plus de 20 ans dans la même activité, j’aurais du mal à changer de rythme.

 

Pour ce qui est de la nature, il s'agissait de métiers assez physiques, ce qui m’effrayait aussi.

 

Mon bilan de compétences m’a permis de découvrir un métier auquel je n’avais pas pensé et qui m’intéresse beaucoup, pour son caractère créatif et artistique, c’est le métier de webdesigner.

 

Nous avons cherché plusieurs écoles. Puis il a fallu trouver une formation qui corresponde à mes disponibilités actuelles, ne pouvant pas arrêter mon activité professionnelle du jour au lendemain. »

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

« Nous avons trouvé une formation à distance qui s’adapte parfaitement à mon maintien d’activité, dans une école située à Angers.

 

J’ai commencé à suivre cette formation début octobre, après avoir divisé mon temps de travail par deux. Depuis un mois, je suis kinésithérapeute le matin, et formée au web-design l’après-midi.

 

J’ai eu un temps d’adaptation au début, mais je commence à prendre le rythme. C’est beaucoup de travail, c’est très intense. Mais c’est aussi très intéressant. J’apprends plein de nouvelles choses. »

Avez-vous une vision plus claire de votre avenir professionnel désormais ?

« Complètement. Mon projet consiste à arrêter mon activité de kiné dans un an, dès que ma formation sera terminée. Puis d’essayer de trouver un poste, dans une agence de communication, par exemple. Dans un deuxième temps, j’envisage de me lancer en freelance»

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

« Je suis ravie de mon bilan de compétences. Je le conseille à toutes les personnes qui s’interrogent sur leur avenir professionnel et le recommanderai évidemment autour de moi»

« Dans ma carrière, j’ai toujours fait ce que j’avais envie de faire sur le moment. Le bilan de compétences m’a permis de savoir qui je suis réellement. »

Interview Bilan de compétences : André OBOEUF

André OBOEUF Bilan de compétences
 
André Oboeuf, 44 ans, a un profil professionnel pour le moins atypique. Il y a quelques mois, cet "autodidacte" a décidé de faire un bilan de compétences avec PERSPECTIVE. Témoignage.

 

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

« Après un bac ES (Economique et Social) et un BTS MUC (Management des Unités Commerciales), j’ai occupé successivement des postes de formateur, vendeur, fiscaliste… J’ai ensuite créé trois entreprises dans les domaines du tourisme, du commerce et de la cosmétique. Tout au long de ma carrière, j’ai fait ce que j’avais envie de faire, juste parce que j’en avais envie. J’ai un peu touché à tout. C’est ainsi que j’ai découvert que j’étais autodidacte. »

 

Vous l’avez « découvert »…, c’est-à-dire que vous ne le saviez pas auparavant ?

« Tout à fait ! Je l’ai appris au cours de ma carrière.

 

Un moment donné, j’étais contrôleur dans les transports en commun. Et du jour au lendemain, j’ai décidé d’arrêter parce que je m’étais rendu compte que j’avais fait le tour du monde du transport. J’ai donc suivi une formation de 6 mois en création d’entreprise, pour concrétiser un projet de création de cosmétiques, que j’ai vendus à plusieurs grandes marques comme Sephora. Cela a duré deux ans, cela a nécessité beaucoup de financements. Avant que je ne m’intéresse à autre chose…

 

C’est là que j’ai compris que j’étais autodidacte, parce que je ne venais pas du tout du métier. Mais après avoir fait l’étude de marché, c’est comme si j’avais toujours travaillé dans ce milieu. J’ai compris que je pouvais occuper différents postes, en fonction de ce que j’avais envie de faire sur le moment. »

 

De fait, comment est née l’idée de réaliser un bilan de compétences ?

« J’en suis arrivé à un moment donné de ma vie où je me suis rendu compte que j’avais fait tout ce que j’avais envie de faire. Un certain nombre de questions se sont présentées à moi : « Qu’est-ce que j’ai envie de faire maintenant ? », « Pour quoi suis-je fait réellement ? » Pour essayer d’y répondre, j’ai enchaîné plusieurs métiers "plus simples" pendant trois ans, histoire de trouver de l’inspiration. Mais il y a quelques mois, c’était toujours aussi confus, je ne savais toujours pas. J’en ai conclu qu’il me fallait un regard extérieur. Et le bilan de compétences m’a servi à cela. »

 

Comment avez-vous connu le bilan de compétences ?

« A vrai dire, le bilan de compétences est un dispositif que je connais depuis longtemps. J’en avais déjà entendu parler il y a plusieurs années, au moment de créer ma première entreprise. Mais ce n’était pas aussi poussé, c’était différent.

Il y a quelques mois, une connaissance m’a parlé du centre PERSPECTIVE, à Nice. Et je me suis rendu compte que le rapport humain de PERSPECTIVE était vraiment intéressant. Ayant un profil qui n’est pas classable, et ne sachant pas où me placer, cela me semblait pertinent. »

 

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

« Mon bilan de compétences a duré un mois. Après avoir raconté mon parcours et ma personnalité à ma conseillère, psychologue du travail, j’ai effectué un certain nombre de tests psychométriques, qui m’ont permis de savoir qui j’étais. J’ai trouvé l’approche très intéressante. »

 

Qu’en avez-vous conclu ?

« Il en est ressorti que mon parcours était tout à fait cohérent, compte-tenu de ma personnalité. C’était rassurant.

 

Cela m’a aussi conforté dans mes choix puisque mon bilan a confirmé que j’étais quelqu’un de très curieux, avec deux dimensions dominantes que sont la créativité et le social. Cela m’a permis de me resituer. »

 

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

« Après avoir passé une partie de ma vie à exploiter ma dimension créative, notamment en créant différentes entreprises…, je vais aujourd’hui me tourner vers le partage, l’humain, en m’orientant vers tout ce qui touche au recrutement, aux ressources humains. Ainsi, j’axe davantage mes recherches d’emploi vers l’aide à l’insertion professionnelle désormais, pour pouvoir partager mes différentes expériences. »

 

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

« Je recommanderais évidemment le bilan de compétences à mes proches.

 

Quand vous êtes autodidacte et que vous avez fait beaucoup de choses, vous pouvez penser que vous vous êtes perdu en cours de route un moment donné.  « Pourquoi faire tout ça ? », « Je cours après quoi ? » sont autant de questions que vous pouvez vous poser. Votre force devient alors une faiblesse.  

Et le bilan de compétences vous permet justement de remettre tout ça en ordre et de savoir où vous voulez aller. »

« Dans ma carrière, j’ai toujours fait ce que j’avais envie de faire sur le moment. Le bilan de compétences m’a permis de savoir qui je suis réellement. »

Interview Bilan de compétences : André OBOEUF

André OBOEUF Bilan de compétences
 
André Oboeuf, 44 ans, a un profil professionnel pour le moins atypique. Il y a quelques mois, cet "autodidacte" a décidé de faire un bilan de compétences avec PERSPECTIVE. Témoignage.

 

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

« Après un bac ES (Economique et Social) et un BTS MUC (Management des Unités Commerciales), j’ai occupé successivement des postes de formateur, vendeur, fiscaliste… J’ai ensuite créé trois entreprises dans les domaines du tourisme, du commerce et de la cosmétique. Tout au long de ma carrière, j’ai fait ce que j’avais envie de faire, juste parce que j’en avais envie. J’ai un peu touché à tout. C’est ainsi que j’ai découvert que j’étais autodidacte. »

 

Vous l’avez « découvert »…, c’est-à-dire que vous ne le saviez pas auparavant ?

« Tout à fait ! Je l’ai appris au cours de ma carrière.

 

Un moment donné, j’étais contrôleur dans les transports en commun. Et du jour au lendemain, j’ai décidé d’arrêter parce que je m’étais rendu compte que j’avais fait le tour du monde du transport. J’ai donc suivi une formation de 6 mois en création d’entreprise, pour concrétiser un projet de création de cosmétiques, que j’ai vendus à plusieurs grandes marques comme Sephora. Cela a duré deux ans, cela a nécessité beaucoup de financements. Avant que je ne m’intéresse à autre chose…

 

C’est là que j’ai compris que j’étais autodidacte, parce que je ne venais pas du tout du métier. Mais après avoir fait l’étude de marché, c’est comme si j’avais toujours travaillé dans ce milieu. J’ai compris que je pouvais occuper différents postes, en fonction de ce que j’avais envie de faire sur le moment. »

 

De fait, comment est née l’idée de réaliser un bilan de compétences ?

« J’en suis arrivé à un moment donné de ma vie où je me suis rendu compte que j’avais fait tout ce que j’avais envie de faire. Un certain nombre de questions se sont présentées à moi : « Qu’est-ce que j’ai envie de faire maintenant ? », « Pour quoi suis-je fait réellement ? » Pour essayer d’y répondre, j’ai enchaîné plusieurs métiers "plus simples" pendant trois ans, histoire de trouver de l’inspiration. Mais il y a quelques mois, c’était toujours aussi confus, je ne savais toujours pas. J’en ai conclu qu’il me fallait un regard extérieur. Et le bilan de compétences m’a servi à cela. »

 

Comment avez-vous connu le bilan de compétences ?

« A vrai dire, le bilan de compétences est un dispositif que je connais depuis longtemps. J’en avais déjà entendu parler il y a plusieurs années, au moment de créer ma première entreprise. Mais ce n’était pas aussi poussé, c’était différent.

Il y a quelques mois, une connaissance m’a parlé du centre PERSPECTIVE, à Nice. Et je me suis rendu compte que le rapport humain de PERSPECTIVE était vraiment intéressant. Ayant un profil qui n’est pas classable, et ne sachant pas où me placer, cela me semblait pertinent. »

 

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

« Mon bilan de compétences a duré un mois. Après avoir raconté mon parcours et ma personnalité à ma conseillère, psychologue du travail, j’ai effectué un certain nombre de tests psychométriques, qui m’ont permis de savoir qui j’étais. J’ai trouvé l’approche très intéressante. »

 

Qu’en avez-vous conclu ?

« Il en est ressorti que mon parcours était tout à fait cohérent, compte-tenu de ma personnalité. C’était rassurant.

 

Cela m’a aussi conforté dans mes choix puisque mon bilan a confirmé que j’étais quelqu’un de très curieux, avec deux dimensions dominantes que sont la créativité et le social. Cela m’a permis de me resituer. »

 

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

« Après avoir passé une partie de ma vie à exploiter ma dimension créative, notamment en créant différentes entreprises…, je vais aujourd’hui me tourner vers le partage, l’humain, en m’orientant vers tout ce qui touche au recrutement, aux ressources humains. Ainsi, j’axe davantage mes recherches d’emploi vers l’aide à l’insertion professionnelle désormais, pour pouvoir partager mes différentes expériences. »

 

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

« Je recommanderais évidemment le bilan de compétences à mes proches.

 

Quand vous êtes autodidacte et que vous avez fait beaucoup de choses, vous pouvez penser que vous vous êtes perdu en cours de route un moment donné.  « Pourquoi faire tout ça ? », « Je cours après quoi ? » sont autant de questions que vous pouvez vous poser. Votre force devient alors une faiblesse.  

Et le bilan de compétences vous permet justement de remettre tout ça en ordre et de savoir où vous voulez aller. »

« Je me suis retrouvé à presque 30 ans à me demander : « Qu’est-ce que j’ai envie de faire ? », « Qu’est-ce qui me plaît vraiment ? » »

Interview Bilan de compétences : Simon BERNARD

Simon BERNARD Bilan de compétences
Chargé de relations publiques et de communication âgé de 29 ans, Simon Bernard a réalisé un Bilan de compétences chez PERSPECTIVE, il y a quelques semaines. Témoignage.

 

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

Après avoir fait un Bac littéraire, option Arts plastiques, j’ai poursuivi avec deux années de classe préparatoire littéraire, option cinéma. Je me suis alors dirigé vers une Licence 3 d’Histoire, puis vers un Master de recherche, à la fin duquel j’ai intégré une société de production en audiovisuel, en stage puis en CDD. J’y suis resté un an et demi au total, avant de me retrouver au chômage. J’ai alors effectué une mission de service civique. (Lire le témoignage de Simon BERNARD sur son expérience de service civique)

A l’issue de la mission, 9 mois plus tard, on m’a proposé d’enchaîner avec un poste en « Emploi Tremplin ». J’ai alors pris officiellement les fonctions de Chargé de relations publiques et de communication, poste que j’occupe aujourd’hui encore.

 

Comment est née l’idée de réaliser un Bilan de compétences ?

Mon « Emploi Tremplin » de 3 ans prend fin cette année. J’aurais pu poursuivre l’aventure en CDI, mais j’ai décidé de faire autre chose. J’ai à cœur de développer des projets plus personnels.

Etant bon élève, on ne m’a jamais renvoyé vers un conseiller d’orientation, peut-être parce que la question ne s’est jamais posée.

Je me suis donc retrouvé à presque 30 ans à me demander : Qu’est-ce que j’ai envie de faire ? Qu’est-ce qui me plaît vraiment ? Et le faire seul, ce n’était juste pas possible.

Même si je peux demander l’avis de mes amis et de ma famille, j’avais besoin de prendre du recul et d’un avis extérieur.

 

Je pensais depuis quelque temps déjà à faire un Bilan de compétences parce que des personnes m’en avaient parlé. Je me suis un peu plus renseigné et cela m’a confirmé dans mon choix.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de compétences ?

J’ai entamé les démarches pour faire un BDC en avril 2018, en prenant l’option de mobiliser mes heures CPF.

En parallèle, j’avais annoncé mon intention de partir de l’association fin mai.

 

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Mon Bilan de compétences doit se terminer ce mois-ci (en septembre, Ndlr.), à raison de 5 séances en juillet, et 3 séances en septembre. Et j’étais en activité tout du long. Le mois prochain, j’aurai changé de travail.

 

Êtes-vous satisfait de votre Bilan de compétences ?

C’est exactement ce que j’attendais. J’ai l’impression d’avoir vraiment avancé après avoir passé un long moment à me poser des questions. C’est un accompagnement extrêmement précieux qui m’a permis de clarifier et poser des choses, que je sentais déjà. Mais d’en prendre complètement conscience et de pouvoir m’appuyer dessus pour la suite.

 

En même temps, cela me permet de découvrir des choses que je ne supposais pas forcément : des milieux, des secteurs et des compétences que je ne pensais pas avoir.

 

Je pense que même humainement, c’est très enrichissant.

 

Qu’est-ce qui vous a été le plus utile lors de cet accompagnement ?

La phase de tests était très intéressante. J’ai beaucoup aimé travailler avec l’Hexa3D. Je me suis aussi très bien entendu avec mon conseiller.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de compétences autour de vous ?

Je recommanderai évidemment un Bilan de compétences aux personnes autour de moi.

De manière générale, je pense qu’on ne parle pas suffisamment de ce type d’accompagnement. Alors que dans notre génération, on doit être assez nombreux à en avoir besoin, justement parce qu’on n’a pas toujours bénéficié d’orientation au cours de notre cursus scolaire. On n’a pas toujours été préparé à affronter le milieu du travail.

Il y a certains tests qu’on devrait clairement mettre entre les mains des bacheliers, cela pourrait leur être utile ! Rattaché au service civique ou à la fin d’étude, après un master, cela pourrait aussi être intéressant.

 

On peut avoir une perception du Bilan de compétences comme étant quelque chose destiné davantage aux personnes en fin de carrière, qui sont en souffrance psychique liée à leur travail ou en état de reconversion professionnelle. Alors que le Bilan de compétences s’adresse à tous en réalité.

 

Il faut dire que la réussite du Bilan de compétences dépend également beaucoup de la structure, de la relation avec le conseiller et des activités proposées. J’ai eu des retours de personnes qui sont déçues de leur Bilan, notamment un ami qui n’a pas du tout eu un accompagnement de la même qualité de celui dont j’ai pu bénéficier chez PERSPECTIVE.

 

Que prévoyez-vous dans les semaines à venir ?

Je vais quitter le confort de mon CDI pour un CDD à temps partiel, justement pour avoir le temps à côté de faire autre chose, pour développer mes propres activités. Je reste dans le milieu de la musique. C’est une mission qui m’évite d’avoir 36 000 choses à faire en même temps, et c’est plus proche de chez moi.

 

Quelques années avant de réaliser un Bilan de compétences chez PERSPECTIVE, Simon BERNARD a effectué une mission de service civique qui a eu une grande importance dans la suite de son parcours professionnel. Découvrez son témoignage concernant le service civique en cliquant ici.

« Je me suis retrouvé à presque 30 ans à me demander : « Qu’est-ce que j’ai envie de faire ? », « Qu’est-ce qui me plaît vraiment ? » »

Interview Bilan de compétences : Simon BERNARD

Simon BERNARD Bilan de compétences
Chargé de relations publiques et de communication âgé de 29 ans, Simon Bernard a réalisé un Bilan de compétences chez PERSPECTIVE, il y a quelques semaines. Témoignage.

 

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

Après avoir fait un Bac littéraire, option Arts plastiques, j’ai poursuivi avec deux années de classe préparatoire littéraire, option cinéma. Je me suis alors dirigé vers une Licence 3 d’Histoire, puis vers un Master de recherche, à la fin duquel j’ai intégré une société de production en audiovisuel, en stage puis en CDD. J’y suis resté un an et demi au total, avant de me retrouver au chômage. J’ai alors effectué une mission de service civique. (Lire le témoignage de Simon BERNARD sur son expérience de service civique)

A l’issue de la mission, 9 mois plus tard, on m’a proposé d’enchaîner avec un poste en « Emploi Tremplin ». J’ai alors pris officiellement les fonctions de Chargé de relations publiques et de communication, poste que j’occupe aujourd’hui encore.

 

Comment est née l’idée de réaliser un Bilan de compétences ?

Mon « Emploi Tremplin » de 3 ans prend fin cette année. J’aurais pu poursuivre l’aventure en CDI, mais j’ai décidé de faire autre chose. J’ai à cœur de développer des projets plus personnels.

Etant bon élève, on ne m’a jamais renvoyé vers un conseiller d’orientation, peut-être parce que la question ne s’est jamais posée.

Je me suis donc retrouvé à presque 30 ans à me demander : Qu’est-ce que j’ai envie de faire ? Qu’est-ce qui me plaît vraiment ? Et le faire seul, ce n’était juste pas possible.

Même si je peux demander l’avis de mes amis et de ma famille, j’avais besoin de prendre du recul et d’un avis extérieur.

 

Je pensais depuis quelque temps déjà à faire un Bilan de compétences parce que des personnes m’en avaient parlé. Je me suis un peu plus renseigné et cela m’a confirmé dans mon choix.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de compétences ?

J’ai entamé les démarches pour faire un BDC en avril 2018, en prenant l’option de mobiliser mes heures CPF.

En parallèle, j’avais annoncé mon intention de partir de l’association fin mai.

 

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Mon Bilan de compétences doit se terminer ce mois-ci (en septembre, Ndlr.), à raison de 5 séances en juillet, et 3 séances en septembre. Et j’étais en activité tout du long. Le mois prochain, j’aurai changé de travail.

 

Êtes-vous satisfait de votre Bilan de compétences ?

C’est exactement ce que j’attendais. J’ai l’impression d’avoir vraiment avancé après avoir passé un long moment à me poser des questions. C’est un accompagnement extrêmement précieux qui m’a permis de clarifier et poser des choses, que je sentais déjà. Mais d’en prendre complètement conscience et de pouvoir m’appuyer dessus pour la suite.

 

En même temps, cela me permet de découvrir des choses que je ne supposais pas forcément : des milieux, des secteurs et des compétences que je ne pensais pas avoir.

 

Je pense que même humainement, c’est très enrichissant.

 

Qu’est-ce qui vous a été le plus utile lors de cet accompagnement ?

La phase de tests était très intéressante. J’ai beaucoup aimé travailler avec l’Hexa3D. Je me suis aussi très bien entendu avec mon conseiller.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de compétences autour de vous ?

Je recommanderai évidemment un Bilan de compétences aux personnes autour de moi.

De manière générale, je pense qu’on ne parle pas suffisamment de ce type d’accompagnement. Alors que dans notre génération, on doit être assez nombreux à en avoir besoin, justement parce qu’on n’a pas toujours bénéficié d’orientation au cours de notre cursus scolaire. On n’a pas toujours été préparé à affronter le milieu du travail.

Il y a certains tests qu’on devrait clairement mettre entre les mains des bacheliers, cela pourrait leur être utile ! Rattaché au service civique ou à la fin d’étude, après un master, cela pourrait aussi être intéressant.

 

On peut avoir une perception du Bilan de compétences comme étant quelque chose destiné davantage aux personnes en fin de carrière, qui sont en souffrance psychique liée à leur travail ou en état de reconversion professionnelle. Alors que le Bilan de compétences s’adresse à tous en réalité.

 

Il faut dire que la réussite du Bilan de compétences dépend également beaucoup de la structure, de la relation avec le conseiller et des activités proposées. J’ai eu des retours de personnes qui sont déçues de leur Bilan, notamment un ami qui n’a pas du tout eu un accompagnement de la même qualité de celui dont j’ai pu bénéficier chez PERSPECTIVE.

 

Que prévoyez-vous dans les semaines à venir ?

Je vais quitter le confort de mon CDI pour un CDD à temps partiel, justement pour avoir le temps à côté de faire autre chose, pour développer mes propres activités. Je reste dans le milieu de la musique. C’est une mission qui m’évite d’avoir 36 000 choses à faire en même temps, et c’est plus proche de chez moi.

 

Quelques années avant de réaliser un Bilan de compétences chez PERSPECTIVE, Simon BERNARD a effectué une mission de service civique qui a eu une grande importance dans la suite de son parcours professionnel. Découvrez son témoignage concernant le service civique en cliquant ici.

« Les prises de conscience faites durant mon Bilan de compétences m’ont permis de réussir mon entretien d’embauche »

Interview Bilan de compétences : François Laurie

François Laurie a travaillé dans l’armée pendant 4 ans. Suite à cette étape, il a souhaité changer de vie professionnelle. Mais après deux échecs consécutifs, il a eu besoin d’aide pour y voir plus clair. PERSPECTIVE l’a aidé à prendre un nouveau chemin professionnel, il nous raconte …

 

Comment est née l’idée d’effectuer un Bilan de compétences ?

C’est mon frère qui en a fait la demande pour moi, car il a réalisé, subitement, que je n’étais pas ce qu’il pensait. J’ai longtemps travaillé dans l’armée, et mon frère me voyait comme une "brute". Lorsqu’on s’est retrouvé pour un voyage à New-York, il a changé de regard sur moi, il a vu que j’avais organisé le voyage, que je prenais des initiatives… Il a pensé qu’il fallait que je fasse le point sur ma vie professionnelle, et il a organisé le Bilan de compétences pour moi.

 

Qu'est-ce qui vous a été le plus bénéfique dans cet accompagnement ?

Grâce à mon conseiller, j’ai passé plusieurs tests psychométriques qui m’ont permis d’identifier qui je suis. Celui qui m’a paru le plus efficace s’appelle le Motiva. Ce test a tout déclenché, il a fait ressortir ma personnalité, mes envies et mes besoins. Mon conseiller a analysé les résultats et les statistiques du test et cela m’a permis d’accepter qui je suis.

 

De quelle manière votre Bilan de compétences a-t-il été utile immédiatement ?

Grâce aux différents tests psychométriques que nous avons passés, je sais que j’ai un tempérament qui aime comprendre comment ça marche. Je sais maintenant qui je suis, je l’accepte et cela m’a permis de gagner en confiance en moi.
Suite au Bilan de compétences, j’ai passé un entretien d’embauche, que j’ai réussi, car j’ai été embauché tout de suite. Je sais que le travail et les prises de consciences faites durant le Bilan de compétences m’ont permis de réussir cet entretien d’embauche.

 

Avez-vous une vision plus claire de votre avenir professionnel ?

J’ai été embauché immédiatement suite à mon Bilan de compétences. Maintenant, je m’autorise à prendre du recul, avant de passer à l’action, et cela me rend plus efficace dans mon travail. Je me sens mieux dans ce que je fais chaque jour. J'ai envie de gravir les échelons et d’en apprendre plus.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de compétences autour de vous ?

Complètement ! J’en parle à des collègues dans mon entreprise qui se posent des questions, j’espère que mes conseils vont les aider.

« Les prises de conscience faites durant mon Bilan de compétences m’ont permis de réussir mon entretien d’embauche »

Interview Bilan de compétences : François Laurie

François Laurie a travaillé dans l’armée pendant 4 ans. Suite à cette étape, il a souhaité changer de vie professionnelle. Mais après deux échecs consécutifs, il a eu besoin d’aide pour y voir plus clair. PERSPECTIVE l’a aidé à prendre un nouveau chemin professionnel, il nous raconte …

 

Comment est née l’idée d’effectuer un Bilan de compétences ?

C’est mon frère qui en a fait la demande pour moi, car il a réalisé, subitement, que je n’étais pas ce qu’il pensait. J’ai longtemps travaillé dans l’armée, et mon frère me voyait comme une "brute". Lorsqu’on s’est retrouvé pour un voyage à New-York, il a changé de regard sur moi, il a vu que j’avais organisé le voyage, que je prenais des initiatives… Il a pensé qu’il fallait que je fasse le point sur ma vie professionnelle, et il a organisé le Bilan de compétences pour moi.

 

Qu'est-ce qui vous a été le plus bénéfique dans cet accompagnement ?

Grâce à mon conseiller, j’ai passé plusieurs tests psychométriques qui m’ont permis d’identifier qui je suis. Celui qui m’a paru le plus efficace s’appelle le Motiva. Ce test a tout déclenché, il a fait ressortir ma personnalité, mes envies et mes besoins. Mon conseiller a analysé les résultats et les statistiques du test et cela m’a permis d’accepter qui je suis.

 

De quelle manière votre Bilan de compétences a-t-il été utile immédiatement ?

Grâce aux différents tests psychométriques que nous avons passés, je sais que j’ai un tempérament qui aime comprendre comment ça marche. Je sais maintenant qui je suis, je l’accepte et cela m’a permis de gagner en confiance en moi.
Suite au Bilan de compétences, j’ai passé un entretien d’embauche, que j’ai réussi, car j’ai été embauché tout de suite. Je sais que le travail et les prises de consciences faites durant le Bilan de compétences m’ont permis de réussir cet entretien d’embauche.

 

Avez-vous une vision plus claire de votre avenir professionnel ?

J’ai été embauché immédiatement suite à mon Bilan de compétences. Maintenant, je m’autorise à prendre du recul, avant de passer à l’action, et cela me rend plus efficace dans mon travail. Je me sens mieux dans ce que je fais chaque jour. J'ai envie de gravir les échelons et d’en apprendre plus.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de compétences autour de vous ?

Complètement ! J’en parle à des collègues dans mon entreprise qui se posent des questions, j’espère que mes conseils vont les aider.

Nos clients "Bilan de Compétences"

Naviguez vers la droite pour en voir davantage

PERSPECTIVE respecte la Charte de Déontologie des Acteurs de la Compétence

► Le Groupe PERSPECTIVE soutient et défend, à travers 10 engagements, les valeurs de transparence, loyauté et éthique professionnelle, indispensables au développement d’une offre de formation de qualité.

Faites votre demande

    Votre demande concerne

    J'accepte que les données saisies dans ce formulaire soient utilisées pour me contacter dans le cadre de ma demande.

    * Champs requis

    Conformément à la loi « Informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée, vous disposez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent, en vous adressant à PERSPECTIVE Conseil, Coaching et Formation - 23 Av. André Chénier 06100 NICE - Tél. 04 85 69 42 74 – contact@groupe-perspective.fr – www.groupe-perspective.fr. SARL au capital de 200.000 € - SIRET N° 792 767 873 000 39 - Déclaration d’activité organisme de formation professionnelle continue N° 93.06.07160.06.

    Notre équipe vous répond

    DU LUNDI AU VENDREDIDE 9 HEURES A 18 HEURES

    Des formations de qualité, pensées pour vous

    En 5 étoiles et 2 mots : Bienveillance et professionnalisme
    Franck Q.
    15:19 24 Sep 24
    Perspective a su nous accompagner avec brio vers une réflexion et un redéploiement de notre politique RH. D’un besoin initial ciblé, nous avons finalement travaillé sur une approche globale de notre organisation, en aboutissant à des perspectives concrètes d’améliorations.Perspective a été à notre écoute et a su analyser nos besoins. Nous sommes très satisfaits de cet accompagnement et nous ne pouvons que recommander vivement Perspective.plus
    Gilles M.
    11:24 14 Jun 24
    Un très bon niveau d'accompagnement. Perspective permet aux acteurs des ressources humaines d'échanger autour des évolutions du secteur.
    Maxence J.
    05:54 10 Apr 24
    J’ai bénéficié d’une journée et demi de formation, avec le groupe Generali, dispensée par Armen TIMOURDJIAN, et très franchement ce fut une expérience vraiment réussie tant au niveau de l’animation, que de la qualité des conseils prodigués en fonction de chaque profil.Armen maitrise vraiment son sujet, et on vit la formation différemment car malgré le fait d’être en groupe il sait s’adapter de manière individuelle à chaque personne dans la salle.Je recommande vraiment ses prestations.Najim de Generaliplus
    Najim
    10:32 06 Mar 24
    merci au groupe PERSPECTIVE pour m'avoir accompagner pour mon projet de VAE. J'ai pu profiter de l'expérience de madame Kershaw qui a su exploiter mes connaissances pour m'aider dans mon projet. Milles merci +++plus
    Claude C.
    19:57 15 Feb 24
    Une formation supérieure qualitative, je suis sorti de ce module plus confiant .je recommande sincèrement
    Yohan G.
    13:57 25 Jan 24
    formation en analyse financière top, super formateur
    Fabrice C.
    17:45 24 Jan 24
    Formation de qualité et enrichissante !
    Macky D.
    01:07 17 Jan 24
    J'ai aimé les cours que nous a fait Monsieur Timourdjian à l'IAE. Sa méthode d'enseignement est axée sur des exemples concrets ce qui facilite l'apprentissage, de plus il est de très bon conseils. C'est important pour nous d'avoir des cours donnés par des intervenants qualifiés.plus
    Fanny D.
    13:30 16 Jan 24
    Après une expérience très positive avec le Groupe PERSPECTIVE, je tenais à souligner la bienveillance et l'accompagnement dont j'ai pu bénéficier. Personnel à l'écoute et de très bons conseils.plus
    Méghane DE L.
    12:15 08 Jan 24
    J'ai suivi la formation "Développer son organisme de formation" dispensée par Armen Timourdjian et j'ai particulièrement apprécié le contenu et la capacité d'adaptation du formateur pour rendre les échanges très pertinents au regard de mes activités. Je recommande !plus
    Alexandre E.
    10:43 02 Nov 23
    Organisme très réactif à l’écoute et toujours bienveillant .
    thomas
    07:27 07 Aug 23
    Une approche professionnelle et des intervenants de grande qualité.
    Sébastien P.
    23:43 08 Jul 23
    Je recommande vivement le groupe perspective qui nous a accompagnés sur le développement de la marque employeur. Je remercie Armen pour son écoute, sa bienveillance et ses précieux conseils. Un accompagnement qui fait du bien!plus
    SIMIER M.
    13:34 04 Jul 23
    Équipe très sérieuse et impliquée., qui sait accompagner pour que tout le monde puisse atteindre ses objectifs.
    Stephane L.
    05:16 30 May 23
    Equipe sympathique, administration transparente.Très bon partenariat en tant que formatrice.
    Line B.
    11:05 25 Apr 23
    Merci à Groupe Perspective, j'ai suivi la formation "Réussir sa certification qualiopi" en avril 2020, j'ai pu bénéficier d'un enseignement de grande qualité, dispensé par des formateurs expérimentés et professionnels. Les cours étaient structurés de manière claire et concise, avec des exemples pratiques et des études de cas concrets qui ont rendu l'apprentissage facile et agréable.J'ai obtenu ma certification Qualiopiplus
    Céline C.
    09:09 25 Apr 23
    Une équipe investie pour favoriser le développement des compétences et accompagner au mieux ses clients. Un engagement qui est un réel gage de qualité.
    Carol P.
    14:34 24 Apr 23
    Une approche professionnelle de la formation et des personnes impliquées dans leur activité et de bon conseil
    Dominique R.
    12:48 22 Apr 23
    Le groupe Perspective nous accompagne depuis le début de l'année sur plusieurs projets.Armen est à l'écoute , bienveillant et très professionnel, il nous conseille sur de nombreux sujets.Nous avons un super accompagnement.C'est un groupe que je recommande fortement.plus
    priscilla K.
    08:10 21 Apr 23

    Nos certifications

    Naviguez vers la droite pour consulter toute la liste

    Nos habilitations

    Naviguez vers la droite pour consulter toute la liste

    Evaluations Google
    4.3
    Basé sur 423 avis
    ×